14 novembre 2024 – Le Conseil canadien des relations industrielles (CCRI) a émis aujourd’hui une ordonnance exigeant la reprise des opérations au Port de Montréal dès samedi 7h.

L’Association des employeurs maritimes (AEM) procède à l’ordonnance du CCRI afin de permettre aux opérateurs portuaires de reprendre leurs activités. Les employés portuaires recevront donc leurs affectations le vendredi 15 novembre dès 18h pour le lendemain.

L’AEM compte sur la collaboration du Syndicat des débardeurs, SCFP section locale 375, ses membres, l’Administration portuaire de Montréal et tous les autres partenaires de la chaîne d’approvisionnement pour faciliter un retour à la normal des activités au Port de Montréal.

Rappelons que mardi, le ministre du Travail Steven MacKinnon est intervenu dans les conflits de Montréal, en Colombie-Britannique et à Québec en demandant au CCRI l’arbitrage exécutoire visant à dénouer l’impasse qui prive des milliers d’entreprises et de consommateurs des services portuaires et qui mine l’économie canadienne.

12 novembre 2024 – L’Association des employeurs maritimes (AEM) accueille la décision du ministre du Travail Steven MacKinnon d’intervenir en demandant au Conseil canadien des relations industrielles (CCRI) d’ordonner un arbitrage exécutoire afin de dénouer l’«impasse totale» dans le conflit avec le Syndicat des débardeurs, SCFP 375. L’AEM attend les instructions du CCRI pour les prochaines étapes.

Le ministre, en point de presse ce matin, a rappelé que malgré un long processus de négociation et l’intervention des spécialistes du Service fédéral de médiation et de conciliation de son ministère, la négociation était dans une impasse.

L’AEM prendra les mesures nécessaires pour assurer la reprise des activités le plus rapidement possible au Port de Montréal.

10 novembre 2024 – L’Association des employeurs maritimes déplore le résultat négatif du vote tenu par le Syndicat des débardeurs de Montréal sur l’offre finale et globale déposée jeudi et n’a d’autres choix que de décréter le lockout dès ce soir, 21 h. 

Dans ce contexte, l’AEM réitère sa demande au ministre du Travail, Steven MacKinnon, d’intervenir pour dénouer l’impasse le plus rapidement possible. Plusieurs acteurs des milieux économiques et maritimes de partout au pays ont logé la même demande dans les dernières semaines afin de faire bouger les choses. Tous souhaitent, comme l’AEM, que ce conflit soit résolu pour que cessent d’être prises en otage les entreprises québécoises et canadiennes qui doivent pouvoir se fier à des activités prévisibles et continues au Port de Montréal.

Rémunération globale généreuse

Afin de reconnaître la valeur de la contribution de ses employés et de leurs familles, l’offre finale de l’AEM déposée jeudi proposait une augmentation salariale de 3 % par année pour 4 ans et de 3,5 % pour les deux années subséquentes, incluant une rétroaction depuis le début de 2024. Au terme du contrat de travail, la rémunération globale moyenne d’un débardeur au Port de Montréal serait de plus de 200 000 $ par année. 

L’AEM maintenait aussi à ses débardeurs de Montréal plusieurs avantages uniques que n’ont pas leurs collègues des autres ports au Canada, notamment un régime de retraite très généreux, payé à 100 % par l’employeur et entièrement géré par le Syndicat, ainsi qu’un programme de garantie salariale qui permet aux débardeurs de recevoir leur salaire même lorsqu’ils ne travaillent pas. Les augmentations proposées s’appliqueraient aussi au régime de retraite, à la garantie salariale et aux autres avantages sociaux actuels. 

L’AEM demeure disposée à collaborer à toute nouvelle initiative qui pourrait être proposée par le ministre du Travail en vue d’en arriver à une entente satisfaisante entre les parties le plus rapidement possible. 

7 novembre 2024 – L’Association des employeurs maritimes (AEM) a soumis ce soir une offre finale et globale au Syndicat des débardeurs – SCFP section locale 375 afin de dénouer l’impasse dans la négociation actuelle qui a des conséquences majeures pour les entreprises du Québec et du Canada. L’AEM demande au Syndicat un retour d’ici 20h ce dimanche sur cette offre qui prévoit une augmentation cumulée de plus de 20% sur 6 ans. L’AEM a aussi informé le Syndicat qu’à défaut d’une entente sur l’offre soumise, et en raison de ses agissements, seuls les services essentiels et les activités qui ne sont pas reliées au débardage se poursuivront au Port de Montréal à compter du dimanche 10 novembre à 21h.

Principaux éléments de l’offre

Afin de reconnaître la valeur de la contribution de ses employés et de leurs familles, l’offre finale de l’AEM prévoit une augmentation salariale de 3 % par année pour 4 ans et de 3,5 % pour les deux années subséquentes, incluant une rétroaction depuis le début de 2024. Au terme du contrat de travail, la rémunération globale moyenne d’un débardeur au Port de Montréal s’élèvera à plus de 200 000 $ par année. Les augmentations proposées s’appliqueront aussi au régime de retraite et aux avantages sociaux actuels. 

L’AEM consent à cette augmentation importante de la rémunération en considérant la disponibilité exigée de ses employés. Elle demande cependant aux débardeurs un délai minimum d’une heure plutôt qu’une minute pour signaler une absence avant un quart de travail. Cette mesure vise à réduire les enjeux liés à la gestion des absences qui affectent les opérations quotidiennes de manière importante.

Des pertes énormes

La valeur des marchandises qui transitent par le Port de Montréal atteint près de 400 millions de dollars par jour, générant 268 millions de dollars en activité économique..

Dans le contexte, des dizaines d’acteurs économiques et maritimes de partout au pays demandent une intervention rapide du gouvernement fédéral visant à mettre fin à l’impasse dans la négociation actuelle avec les débardeurs du Port de Montréal.

L’AEM demeure disposée à collaborer à toute initiative qui pourrait être proposée par le ministre du Travail en vue d’en arriver à une entente satisfaisante entre les parties le plus rapidement possible.

5 novembre 2024 – À l’exception du secteur du vrac et des services essentiels, les opérations liées à la manutention de conteneurs au Port de Montréal font l’objet d’un ralentissement majeur en raison des grèves répétées et illimitées du Syndicat des débardeurs — SCFP section locale 375. De fait, aujourd’hui, ces activités nécessitent seulement 45 débardeurs pour compléter les tâches sur les quais, puisque les volumes ont chuté de façon importante.

L’AEM continue d’appliquer des mesures d’atténuation pour limiter les effets des multiples grèves des débardeurs qui sont en cours au Port de Montréal et qui affectent non seulement les opérations, mais surtout la sécurité du public, ainsi que l’économie québécoise et canadienne en privant des milliers d’entreprises et de consommateurs des biens qui leur sont essentiels. 

Appel au règlement du conflit 

L’AEM reconnaît la contribution des débardeurs et de leurs familles aux opérations du Port de Montréal et souhaite une entente négociée. Rappelons que les activités du Port de Montréal représentent, en moyenne chaque jour, environ 400 M$ en valeur de marchandise, qui génèrent 268 M$ en activité économique. 

L’AEM offre depuis toujours une rémunération globale compétitive à ses employés. En 2023, la rémunération globale moyenne d’un débardeur au Port de Montréal était de 171 700 $. Cette rémunération inclut la garantie de revenu lorsqu’il n’y a pas de travail, la valeur du régime de retraite payé à 100 % par l’employeur, les assurances, les congés, etc.

L’AEM souhaite que l’impasse prenne fin le plus rapidement possible.

2 novembre 2024 – L’Association des employeurs maritimes (AEM) n’aura d’autre choix que de mettre en œuvre, à compter du 5 novembre à 7 h, la suspension de la garantie salariale pour tous les débardeurs qui ne seront pas au travail, à l’exception des débardeurs dans le secteur du vrac et aux services essentiels. Il s’agit d’une mesure d’atténuation visant à réduire l’impact financier cumulé des grèves répétées et de la baisse des volumes au Port de Montréal.

L’AEM a proposé cette semaine d’entreprendre avec le Syndicat, sans conditions préalables, une période de négociation accélérée, avec l’appui d’un médiateur spécial désigné par le ministre fédéral du Travail, en vue de conclure une nouvelle convention collective. Le Syndicat a malheureusement décliné cette proposition.

Le Syndicat des débardeurs du Port de Montréal (SCFP, section locale 375), a plutôt décidé d’entreprendre, le 31 octobre, une grève illimitée qui bloque directement deux terminaux de TerMont et le traitement de 40% des conteneurs livrés au port. Cette décision regrettable, qui s’ajoute au refus de faire du temps supplémentaire depuis le 10 octobre, a un impact majeur sur la majorité des opérations du Port de Montréal et les actions syndicales provoquent un déplacement du cargo vers d’autres destinations.

L’AEM, après une analyse rigoureuse de la situation financière, a donc informé le Syndicat ce matin qu’elle suspendra, à compter de mardi le 5 novembre, la garantie salariale principalement chez les débardeurs affectés au transbordement des conteneurs qui ne seront pas au travail.

Actuellement, les débardeurs du Port de Montréal, qui sont en disponibilité mais qui ne travaillent pas faute de volume, reçoivent leur salaire complet chaque semaine. Cette particularité propre aux débardeurs de Montréal devrait représenter un coût d’environ 15 M$ en 2024.

Des impacts importants

Depuis 2022, les volumes ont chuté au Port de Montréal et les revenus de l’AEM ont diminué d’environ 40%. Dans ce contexte, les actions initiées par le Syndicat contraignent l’AEM à prendre des décisions difficiles, mais nécessaires, pour atténuer l’impact financier des moyens de pression sur l’organisation. L’AEM représente l’industrie auprès des travailleurs et son rôle implique d’offrir une main-d’œuvre qualifiée afin de permettre le transport intermodal et de protéger la chaîne d’approvisionnement malgré les baisses de revenus importantes qu’elle enregistre.

Malgré les actions déplorables du Syndicat des débardeurs, SCFP section locale 375, qui perturbent, de manière répétée, la chaîne d’approvisionnement à Montréal et dans l’ensemble du pays, l’AEM demeure disposée à poursuivre la négociation avec le Syndicat, avec l’appui d’un médiateur désigné par le ministre du Travail.

31 octobre 2024 – L’Association des employeurs maritimes (AEM) déplore cette nouvelle grève illimitée déclenchée par le Syndicat des débardeurs du Port de Montréal qui paralyse spécifiquement les deux terminaux opérés par l’entreprise TerMont depuis 11h aujourd’hui.

L’AEM ne peut accéder à la demande du Syndicat de modifier les horaires de travail en dehors d’une négociation en bonne et due forme. Les horaires utilisés sur les différents quais – à quart et à relais – remis en question par le Syndicat ces derniers jours, sont inscrits dans la convention collective en vigueur et ne peuvent servir de monnaie d’échange à une grève ciblant un seul opérateur, comme c’est le cas aujourd’hui.

Des impacts importants

Affectée depuis quelques mois déjà par une baisse de volume au Port de Montréal, l’AEM a dû procéder à certaines coupures au sein de l’organisation et révise régulièrement sa situation. Des décisions difficiles, mais nécessaires pourraient devoir être prises pour faire face aux impacts multiples de cette nouvelle grève. 

Selon les données du Port de Montréal, le marché est déjà en baisse de 30 % si on le compare à celui de 2022.

L’Association des employeurs maritimes réitère sa demande d’une intervention du ministre fédéral du Travail pour ramener les parties à la table de négociation pour mettre fin à ce conflit qui affecte nos clients, nos partenaires et la confiance qu’ils portent au Port de Montréal.

29 octobre 2024 – L’Association des employeurs maritimes (AEM), devant l’impasse, demande au ministre du Travail et des Aînés, M. Steven MacKinnon, de nommer le médiateur spécial pour en arriver à une entente d’ici le 3 décembre 2024.

Les discussions menées dans les dernières heures n’ont pas permis de ramener le Syndicat à la table de manière constructive. Le Syndicat des débardeurs s’apprête donc à déclencher une grève générale illimitée aux terminaux Viau et Maisonneuve opérés par TerMont à compter de jeudi, 11h. Ce moyen de pression entraînera rapidement des bouleversements opérationnels majeurs, lesquels mettront en péril les opérations de plusieurs entreprises, mais aussi la santé financière de l’Association qui compose déjà avec des volumes en baisse.

Force est de constater que les parties sont présentement dans une impasse. L’AEM tente un appel à l’aide afin que soit nommé un médiateur spécial par le gouvernement dans le but de dénouer le blocage dans les négociations dans des meilleurs délais. Une demande officielle a d’ailleurs été logée en fin de journée au cabinet du ministre.

L’AEM ne commentera pas davantage le contenu des négociations. 

26 octobre 2024 – L’Association des employeurs maritimes (AEM) rappelle que le Syndicat des débardeurs de Montréal, section locale 375 du SCFP, prévoit une cessation complète du travail sur le territoire du Port de Montréal, incluant le terminal Contrecœur, pour une période de vingt-quatre (24) heures, du dimanche 27 octobre 2024 à 7 h jusqu’au lundi 28 octobre 2024 à 6 h 59.

Conformément au Code canadien du travail, les activités pour les navires céréaliers seront maintenues, tout comme celles liées à l’approvisionnement de Terre-Neuve-et-Labrador, en conformité avec la décision du Conseil canadien des relations industrielles du 23 juillet 2024.

L’AEM espère que les prochaines discussions avec le Service fédéral de médiation et de conciliation seront fructueuses et permettront un retour à la table de négociations afin d’en arriver rapidement à la signature d’une convention collective négociée.

24 octobre 2024 – L’Association des employeurs maritimes déplore le préavis de grève reçu ce matin de la part du Syndicat des débardeurs du Port de Montréal, section locale 375 du SCFP, consistant en une cessation complète du travail sur le territoire du Port de Montréal, incluant le terminal Contrecœur, pour une période de 24 heures, du dimanche 27 octobre 2024 à 7h jusqu’au lundi 28 octobre 2024 à 6h59. Lire notre mise à jour complète.

21 octobre 2024 – L’Association des employeurs maritimes prend acte de la décision du ministre MacKinnon de retirer son offre de nomination d’un médiateur spécial afin d’aider à conclure une nouvelle convention collective avec le Syndicat des débardeurs.

L’heure est à déterminer les prochaines étapes avec l’appui du Service fédéral de médiation et conciliation.

18 octobre 2024 – Le 15 octobre dernier, le ministre du Travail et des Aînés, l’Honorable Steven MacKinnon, a fait une proposition à l’AEM et au Syndicat des débardeurs de Montréal, section locale 375 du SCFP.

Celle-ci proposait la nomination d’un médiateur spécial afin que les parties reprennent les négociations, sans aucun moyen de pression de part ou d’autre, sur une période de 90 jours.

Nous avons envoyé notre réponse au Ministre et sommes en constante communication avec son bureau afin de s’assurer de trouver une solution constructive à l’impasse.

Afin de respecter le processus et surtout, s’assurer de son succès, nous ne ferons pas d’autres commentaires.

15 octobre 2024 – Une rencontre a eu lieu cet après-midi avec le ministre fédéral du Travail, l’Honorable Steven MacKinnon, pour faire avancer le dossier du contrat de travail entre l’AEM et le Syndicat des débardeurs de Montréal. Les parties patronale et syndicale ont participé à cette rencontre.

Lors de celle-ci, le Ministre a proposé la nomination d’un médiateur spécial afin que les parties reprennent les négociations, sans aucun moyen de pression de part ou d’autre, sur une période de 90 jours.

L’Association des employeurs maritimes s’engage à examiner la proposition.

Soulignons qu’une grève de trois jours décrétée par le Syndicat le 30 septembre dernier a paralysé les activités de deux terminaux du Port de Montréal. Une grève du temps supplémentaire illimitée a été déclenchée le 10 octobre dernier.

L’AEM et le Syndicat doivent rendre leur réponse respective au ministre du Travail avant vendredi à 17 h.

9 octobre 2024 – L’AEM rappelle que le Syndicat des débardeurs du Port de Montréal, section locale 375, prévoit la cessation complète des heures supplémentaires dès ce jeudi 10 octobre à 7h00, et ce, pour une durée illimitée.

Précisons que l’AEM a demandé formellement au Syndicat de retirer son préavis de grève le 7 octobre dernier, en l’avisant que les employés assignés qui ne peuvent pas travailler ne seront pas rémunérés pour les heures où ils auraient pu effectuer le travail prévu.

L’AEM estime que le refus systématique des heures supplémentaires entraînera des répercussions importantes sur les activités du Port — allant même jusqu’à l’arrêt des opérations — et incidemment, sur les commerces, les industries et le public. 

L’AEM réitère sa volonté de poursuivre les négociations et demande au Syndicat de suivre la démarche dictée par le Service fédéral de médiation et de conciliation afin d’en arriver le plus rapidement possible à une entente négociée.

7 octobre 2024 – L’AEM a signifié aujourd’hui au Syndicat des débardeurs du Port de Montréal, section locale 375, que la cessation complète des heures supplémentaires a des répercussions importantes sur les équipes déployées et les tâches nécessaires aux opérations. 

De ce fait, l’AEM avise que les employés assignés sur des quarts dont les équipes seront incomplètes, ne seront pas rémunérés. Cette décision est nécessaire dans le contexte où des équipes incomplètes causeront de façon imminente le ralentissement ou encore l’arrêt des opérations du Port, avec les conséquences qui en découlent pour le public. 

L’AEM a formellement demandé au Syndicat de retirer ce préavis de grève dont les moyens de pression sont prévus dès ce jeudi 10 octobre à 7h00 pour une durée illimitée.

L’AEM réitère sa volonté de poursuivre les négociations et demande au Syndicat de suivre la démarche dictée par le Service fédéral de médiation et de conciliation afin d’en arriver le plus rapidement possible à une entente négociée.

3 octobre 2024 – Les parties ont été convoquées par le Service fédéral de médiation et de conciliation (SFMC) pour une rencontre de médiation demain à 11h.

Nous souhaitons une entente durable tenant compte de la réalité afin de travailler collectivement à ramener la stabilité et le cargo à Montréal.

Nous ne donnerons aucune autre information supplémentaire de manière à ne pas interférer dans le processus de médiation.

2 octobre 2024 – Après 3 jours de grève, les activités des terminaux Viau et Maisonneuve reprendront demain matin. La priorité de l’Associations des employeurs maritimes (AEM) demeure une entente négociée et de bonne foi. 

Force est de constater que la formule actuelle de médiation ne produit plus de résultats. La rencontre de médiation du 26 septembre a malheureusement mené à un avis de grève, déposé par le Syndicat des débardeurs le lendemain. Rappelons également que 66 jours se sont écoulés sans nouvelles du Syndicat après le dépôt de notre offre cet été.

Nous évaluons actuellement toutes les options qui s’offrent à nous pour en venir à une solution durable et qui tient compte de la réalité. 

29 septembre 2024 – L’AEM a tenté par tous les moyens disponibles d’éviter la grève prévue demain aux terminaux Viau et Maisonneuve de la compagnie Termont au Port de Montréal, mais en vain.

Que ce soit par la médiation, soutenue par le Service fédéral de médiation et de conciliation, ou devant le Conseil canadien des relations industrielles en audience d’urgence cet après-midi, nos démarches n’ont pas porté fruit.

L’AEM est très déçue de ce dénouement et espérait sincèrement pouvoir trouver un terrain d’entente entre les parties pour maintenir nos activités.

La priorité de l’AEM demeure la signature d’une convention collective négociée dans les meilleurs délais.

27 septembre 2024 – L’Association des employeurs maritimes a reçu ce matin un préavis de grève de la part du Syndicat des débardeurs du Port de Montréal, section locale 375 du SCFP, consistant en un arrêt de travail complet des opérations des deux terminaux de la compagnie Termont (terminal Viau et terminal Maisonneuve) du lundi 30 septembre 7h au jeudi 3 octobre 6h59.

Ayant pris connaissance de leurs demandes précises via les médias, nous allons examiner celles-ci avant de commenter davantage.

Tout arrêt de travail au Port de Montréal a des conséquences majeures.

Alors que le cargo manutentionné par les débardeurs de Montréal a déjà diminué de 24% depuis 2022, nous avons la responsabilité collective d’en arriver à une convention collective signée le plus rapidement possible.

25 septembre 2024 – L’AEM prend acte du vote de grève tenu les 24 et 25 septembre par le Syndicat des débardeurs, section locale 375, SCFP, au Port de Montréal.

Tel que communiqué plus tôt cette semaine, un avis de 72 heures est nécessaire avant d’exercer tout moyen de pression. Le Syndicat dispose d’un délai de 60 jours pour se prévaloir de son mandat de grève.

Le Service fédéral de médiation et de conciliation accompagne les parties dans les négociations. Une rencontre est prévue ce 26 septembre.

Notre priorité demeure la signature d’une convention collective négociée le plus rapidement possible afin de travailler à ramener le cargo au Port de Montréal.

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